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Pourquoi une cellule va mal ?

Plusieurs raisons à la détérioration d’une cellule

Quand la cellule va mal, tout va mal…

Nous avons tellement orienté les recherches scientifiques dans le but de soigner la conséquence d’une perturbation, que nous avons fini par en oublier son origine : le dysfonctionnement de la cellule elle-même.

La cellule représente le point de départ absolu : tout dysfonctionnement de cette dernière entraînera obligatoirement des perturbations au niveau de l’organe qu’elle constitue. 
Mais aujourd’hui la médecine est divisée en plusieurs disciplines selon des organes bien précis : la cardiologie pour le cœur, la gastro-entérologie pour les intestins, la dermatologie pour la peau… 
Cette approche, centrée sur les organes, ignore le fait que la santé et la maladie ne sont pas déterminées au niveau des organes, mais au niveau des millions de cellules dont ils sont composés et qui constituent le corps humain.

Lorsque nos cellules fonctionnent mal, on observe dans un premier temps une baisse globale des performances de l’organisme, signe de la fragilité du terrain avec fatigabilité excessive, manque de dynamisme…

Divers troubles peuvent ensuite s’installer. À terme, ces désordres interviennent dans de nombreuses maladies plus graves, en particulier dans les maladies dites de « civilisation » : cancers, maladies cardiovasculaires, diabète, rhumatismes, allergies…

Les nutriments essentiels au bon fonctionnement de la cellule

Ce dysfonctionnement cellulaire prend souvent naissance à la suite d’une moindre disponibilité nutriments. Ce qui est logique puisque, pour assurer son fonctionnement, la cellule a besoin de matières premières telles que les glucides, protéines et lipides, désormais bien connus, mais également de micronutriments, molécules indispensables à l’utilisation de ces matières premières et que l’organisme est incapable de synthétiser. Ces micronutriments doivent donc être apportés par l’alimentation en quantité suffisante et sous forme assimilable. On peut citer :

Si les carences nutritionnelles profondes telles que le béribéri ou le scorbut n’existent pratiquement plus dans le monde occidental, on peut par contre observer fréquemment des subcarences en micronutriments, responsables, à plus ou moins long terme, de fragilisations multiples et de troubles fonctionnels.

Quand nos enzymes manquent d’activité…

Pour bien comprendre l’importance des micronutriments et les conséquences sur la santé d’éventuelles carences, il est nécessaire de revenir à la base de la vie : la réaction enzymatique. Cette dernière est, en effet, au centre de la biologie cellulaire, donc des différents métabolismes.

Nous possédons environ 20 000 à 25 000 gènes à l’origine des 100 000 protéines synthétisées par l’organisme humain, dont 15 000 enzymes différentes présentes dans chaque cellule et particulièrement sensibles à tout dysfonctionnement. Chaque enzyme catalyse une réaction biochimique cellulaire et s’avère indispensable aux diverses transformations : de la digestion des aliments avec les enzymes salivaires, digestives, pancréatiques… à toutes les synthèses vitales, jusqu’à la neutralisation et l’élimination des déchets métaboliques.

Or, chacune de ces réactions enzymatiques est totalement dépendante du statut de la cellule en micronutriments, en particulier en oligoéléments.

L’insuffisance en certains micronutriments catalyseurs et cofacteurs enzymatiques est en effet à l’origine d’une perte globale d’activité biochimique cellulaire et donc d’un mauvais rendement biologique des fonctions métaboliques. Il en résulte des perturbations biologiques par carence enzymatique souvent associées à un excès de radicaux libres, source de multiples processus dégénératifs.
Les carences et subcarences peuvent donc être, en grande partie, à l’origine de la souffrance de la cellule, alors incapable d’assurer la tâche pour laquelle elle existe !

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